Actualités
Sont regroupées ici les actualités qui ne concernent ni les circuits ni le viaduc des Fauvettes.
Dans le cadres des opérations "Essonne verte, Essonne propre", les associations locales proches du site de La Troche organise une journée d'entretien et de nettoyage du site le samedi 10 octobre 2020.
Venez avec vos bras, mais les gants et sécateurs seront les bienvenus dés le matin !
- Détails
- Affichages : 2125
Lundi 31 aout 2020, le Conseil Départemental de l’Essonne inaugure sa plaquette de valorisation des activités sportives de pleine nature en plein cœur de la forêt des Grands Avaux, sur le site côté Nainville les Roches. Le Président, François Durovray, est accompagné de ses adjointes aux sports (Sophie Rigault) et à l’environnement (Brigitte Vermillet).
Le massif est situé sur la commune de Champcueil et son maire, Sandrine Jacquet est ravie d’accueillir cette réception. Pour nous les passionnés d’escalade, ce site a longtemps été référencé comme étant le massif de Beauvais qui, de fait, est un des hameaux de Champcueil. C’est d’ailleurs le CoSiRoc, représenté par les amis des rochers de Beauvais (l’ARB) qui introduit la visite après une discussion assidue avec François Durovray.
Les grimpeurs fréquentent aussi assidument les sites de Seine et Marne (les forêts Fontainebleau en particulier) ; de fait, les massifs de l’Essonne sont de plus en plus fréquentés par un public diversifié et avant de choisir les Rochers du Duc pour cette conférence, un autre site animé par le CoSiRoc avait été envisagé : le viaduc des Fauvettes.
L’Essonne est riche de lieux remarquables ; près de 77 % de son territoire est occupé par des espaces ruraux ou naturels, propices au développement des sports de nature. Un diagnostic des sports de nature sur le territoire de l’Essonne a été engagé. Il recense environ 640 Espaces, sites et itinéraires (ESI) de pratique des sports de nature qui, au-delà de l’exercice physique, concourt à la santé publique, à l’éducation et la formation des citoyens, et revêt une dimension sociale importante.
- Détails
- Affichages : 1988
Chamarande, la forêt du Belvédère est un joli massif essonnien de fait bien moins fréquenté par les grimpeurs qu’il y a quelques années. C’est fort dommage car les possibilités d’escalade sont extraordinaires ; certes, quelques voies sont très hautes et engagées mais il y en a bien plus qui ne sont pas très exposées. Bien sûr il y a la voie ferrée qui longe la partie Sud du massif, mais au final, les nuisances sonores sont bien moins embarrassantes que les massifs à proximité de l’autoroute du Sud ! Récemment, les circuits Jaune et Bleu clair ont été entretenus. Le circuit Jaune est long 64 numéros ; il convient bien dans sa première partie (jusqu’au Cervin) à des grimpeurs encore peu expérimentés des escalades en pleine nature. La fiche du circuit est ici. La suite est plus engagée, plus hétérogène, plus sauvage : les blocs ne sont pas toujours bien nettoyés. L’enchainement total conviendra uniquement à des grimpeurs expérimentés. Le parcours Bleu clair (départ 50 m plus à l’Est de la dalle PO) est assez long, mais le plus souvent il est bien moins engagé que le parcours Bleu foncé qui démarre sur la dalle PO. Ce premier entretien permet aujourd’hui de le suivre dans son intégralité. Mais quelques modifications seront nécessaires pour le tracé définitif. N’hésitez pas à faire vos suggestions. Une rencontre concernant l’entretien du massif a eu lieu ce début septembre avec l’ONF et le CD91 (avec le CoSiRoc, l’ARB, le club FFME de Lardy). A cette occasion, nous avons alerté de l’installation d’un énorme essaim d’abeilles sur le bloc qui touche La Cervelle. Cet essaim sera récupéré rapidement par les apiculteurs essonniens. En attendant, évitez de fréquenter cette zone.
- Détails
- Affichages : 4416
Au début de juillet, des tagueurs ont sérieusement sévi sur quelques blocs du sommet du 91,1. Au total plus de 15 m2 sinistrés en 4 tags dont certaines sections ont du être aussi peintes, au vu de l’épaisseur de la couche de peinture marron (avec de nombreuses coulures sous les peinturlurages concernés).
Certains sont intervenus quelques jours après, en « décapant » très sérieusement deux des tags pour montrer que cette pollution était inacceptable et qu’ils ne l’acceptaient pas.
Pour la finition du travail sur l’un des tags et la suppression des deux derniers, la balle est dans le camp de l’ONF . Actuellement le triste spectacle peut encore (pour longtemps?) être contemplé au sommet du pignon, sur et aux alentours de la Rocher du Pin, pin dont les racines, devenues vrai tronc, avaient fait chuter une écaille pas petite du tout il y a quelques dizaines d’années (cf. photo).
- Détails
- Affichages : 4593
Le Potala enfin libéré* .
Juste un peu d’histoire (pour meubler) car annoncer que « des AFF (non identifiés mais bien connus) de sa Commission terrain ont éliminé des saloperies », c’est un peu court mais avec le mérite d’être concis et vrai.
Donc le Potala. Début de la saga : clôture dans les années 60. Le propriétaire du coin, pour des raisons d’allergie marquée à des bivouaqueurs proches de son terrain, a, en quelques épisodes construit une «double ligne défensive (Maginot était un petit rigolo …» OS in Paris cham n°104) ; qui est restée sur place après son expropriation (je résume).
En 1993, sous l’impulsion du Cosiroc, le 5 juin, 350 m de barbelés étaient éliminés du coté de la Gorge aux Châts. Le lendemain ; le matériel étant de sortie, une action contre la ligne Delavier (pardon «Maginot) du Potala s’est déroulée comme la précédente mais avec un nettement moins de monde (la fatigue !!), mais à quand même été efficace (60 m de clôture détruits).
Dans les années 2000 un club d’escalade versaillais (si ma mémoire est bonne) organisait une nouvelle opération de nettoyage. Pas mal de résidus évacués et le restant « caché » dans des diaclases du coin.
2016 (enfin !) : extraction des résidus avec l’aide bienveillante d’un tirefort (qui permet d’opérer en solitaire). Puis une fois les déchets regroupés, transport de ces derniers vers le point de récupération convenu avec l’ONF. Facile me direz vous car, c’est vrai, ça descend. C’est oublier les accrochages des tas de ferrailles lors de leur tirage, le barbelé insoumis qui surgit d’un seul coup d’un tas tranquille, le lacet de chaussure qui file provisoirement le partait amour avec un morceau de grillage ; En résumé du « un peu difficile ».
Donc un grand merci aux AFF que vous trouverez en photo ci-contre (y compris le fantôme Gilto qui s’est évaporé à l’anglaise) et à Belle (ma chienne) dite Castafiore qui nous a tous encouragé avec ses aboiements harmonieux ( ?).
* Enfin presque. On vient de me signaler un reliquat que je connaissais pas. Va pas faire long feu ce dernier !
- Détails
- Affichages : 7960
Page 2 sur 8